Archéométrie et histoire des techniques

Archéométrie et histoire des techniques

Atelier concept du GDR 2092 Techniques et production dans l’histoire (TPH) – https://tph.hypotheses.org

coordonné par Philippe Dillmann, Gaspard Pagès et Catherine Verna

le 15 novembre 2021, 9h30-17h30 – Entrée libre – Pass sanitaire requis

Amphithéâtre du Bâtiment Max Weber (Bat. SHS), Université Paris Nanterre

L’atelier concept qui réunira archéologues, historiens et archéomètres a pour objectif d’interroger la place et le rôle de l’archéométrie dans la construction de l’histoire des techniques qui, dès l’origine de la discipline, est définie comme interdisciplinaire. Cette enquête s’inscrira volontairement dans le temps long, du Néolithique au XVIIIe siècle, afin d’explorer en quoi les sciences analytiques et l’archéologie ont participé au renouvellement des réflexions en histoire des techniques et à la construction historique.

 

Dans un premier temps, nous proposons de reconstituer une historiographie des relations entre ces « disciplines » autour de deux cas exemplaires 1. L’histoire de la sidérurgie qui a été un terrain expérimental favorable à la construction des liens entre le laboratoire, le terrain et l’histoire des techniques et 2. La numismatique, une discipline ancienne née au XVIIe siècle dont la matérialité a été le support de relations de plus en plus étroites entre archéométrie, archéologie et histoire.

Ensuite, nous examinerons, à partir du thème emblématique en histoire des techniques qu’est la circulation des matériaux et des savoirs, le résultat de trois enquêtes qui restituent l’efficacité de cette démarche heuristique 1. Dans le domaine de la production du verre (entre Asie centrale et Méditerranée, de la fin de l’Antiquité au milieu du Moyen-Âge) ; 2. Dans celui des techniques picturales (entre Éthiopie et Méditerranée, aux XIIIe-XVIe siècles) ; 3. Dans celui de l’émaillage sur céramique (entre Chine et France, aux XVIIe et XVIIIe siècles).

Dans un autre domaine, et plus récemment, les développements méthodologiques analytiques permettent de collecter des informations au sein de la matière organique réduite à l’état de traces, jusqu’à présent inaccessibles. Leur examen constituera le dernier volet de cet atelier concept : les techniques de production et les usages des cires, du miel et des goudrons végétaux peuvent ainsi être approchés et étudiés.

 

Sur ces terrains d’application, et bien au-delà, l’interdisciplinarité des démarches analytiques et des réflexions théoriques est aujourd’hui assimilée et constitue le pivot de la plupart des travaux de recherche actuels. Cette interdisciplinarité « intégrée » constitue également la base de nouvelles réflexions qui trouvent leur origine dans plus de 50 ans de construction épistémologique et méthodologique et irriguent la totalité du spectre des recherches sur les sociétés et les civilisations anciennes. L’atelier sera ainsi l’occasion de passer en revue cette évolution et d’examiner la pratique actuelle de l’interdisciplinarité dans ces domaines afin de mieux en saisir les contours conceptuels.

Programme de l’atelier : Programme_Archéométrie_histoire des techniques

 

 




Le phénomène urbain dans l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge (IVe-VIIIe siècle)

Colloque « Le phénomène urbain dans l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge (IVe-VIIIe siècle) », organisé les 11 et 12 octobre à l’Université Paris Nanterre, Amphithéâtre du bâtiment Max Weber, par l’équipe THEMAM, ArScAn, UMR7041.

Ce colloque sur les villes de l’Antiquité tardive et du haut Moyen Âge a été organisé pour saluer les 50 ans de recherche sur l’Antiquité tardive et le haut Moyen Age à l’Université de Nanterre, au sein des équipes CRATHMA (1970-1999), devenu TIMA (1999-2004) puis ArScAn-THEMAM (2005-2020). Il entend illustrer la nécessaire pluridisciplinarité entre historiens, archéologues, historiens de l’art et philologues.

Dans l’espace-temps défini de manière géographique des îles Britanniques à la Mésopotamie, et de manière temporelle du IVe au VIIIe siècle, l’analyse du phénomène urbain permet de mettre en valeur les grandes évolutions démographiques, économiques, institutionnelles, sociétales ou religieuses, et fonde une réflexion globale sur la période.

Il s’agit en premier de percevoir l’état de l’armature urbaine et ses évolutions. De 400 à 700, dans certaines régions (Grande-Bretagne ou régions danubiennes), les villes et les cités ont quasiment disparu ; dans d’autres (Gaule, Égypte, Syrie), leur nombre s’est maintenu ; dans d’autres encore (Italie, Hispanie, Afrique, Asie Mineure), leur nombre a diminué ; enfin, dans certaines régions (mer du Nord et Baltique, Gaule, espace musulman), on assiste à l’apparition de nouvelles agglomérations ou à une transformation de l’espace urbain qui témoignent de nouvelles manières d’être et de faire la ville.

Le colloque se propose donc d’abord de faire un bilan quantitatif afin d’apprécier les tendances générales et ses variations régionales du IVe au VIIIe siècle. Par des analyses plus qualitatives, il vise ensuite à définir les évolutions des réalités et des représentations urbaines.

Programme : Programme_Colloque_PhenomeneUrbain




Colloque « Des arts visuels aux arts vivants. Influences des représentations figurées sur les spectacles antiques »

Colloque « Des arts visuels aux arts vivants. Influences des représentations figurées sur les spectacles antiques », 21-22 octobre 2021, Nanterre (MSH-Mondes, bâtiment Max Weber, salle de séminaire 1, avec retransmission en distanciel, par visioconférence).

 

Les travaux portant sur l’influence des spectacles sur l’iconographie de l’Antiquité grecque et romaine ont été nombreux au cours des dernières décennies, en revanche la question de l’influence des arts figurés sur la scène antique a été moins souvent traitée. Afin d’éclairer l’histoire des arts visuels, des langages figuratifs et des modes de représentation antiques, on s’intéressera aux références aux arts plastiques dans la comédie et la tragédie, aux effets pathétiques ou cocasses qu’elles suscitent et à ce qu’elles révèlent de la façon dont les poètes conçoivent la mimèsis dramatique. On cherchera aussi à mettre en lumière l’empreinte des arts visuels sur la gestuelle des acteurs, la représentation des corps parlants ou muets, les costumes, les mises en scène de tous types de spectacles, les danses à sujet mythologique. On traitera ainsi du mode d’expression des caractères et des émotions. Les communications pourront également porter sur les images mentales que la représentation évoque et à partir desquelles elle s’élabore. Cette réflexion interdisciplinaire sera prolongée par un volet consacré à l’influence des arts figurés antiques sur les représentations contemporaines.

Programme du colloquePROGRAMME_DEPLIANT-Artsvisuels-Artsvivants

 

Manifestation organisée dans le cadre du programme collectif « Représenter la performance » (UMR 7041, ArScAn).

 

Organisatrices :

Isabelle David (Université Montpellier 3 – EA 4424)

Alexa Piqueux (Université Paris Nanterre – UMR 7041)

Évelyne Prioux (CNRS – UMR 7041)

 

Intervenants :

Alice ALCARAS (Université Paris Nanterre)

Christine Mauduit (ENS Ulm)

Pascale Brillet (Université Lumière Lyon 2)

Chrysanthi Demetriou (Université de Chypre),

Anne Martineau (Université de Poitiers)

Anne Bajard (Université Bordeaux Montaigne)

Marden Nichols (Georgetown University)

Antonis Petrides (Université de Chypre)

Panayota Volti (Université Paris Nanterre).




LiDAR archéologiques et territoires anciens/Archaeological LiDAR and ancient territories

LiDAR archéologiques et territoires anciens/Archaeological LiDAR and ancient territories

Workshop International 15-16 septembre 2021

Centre Malher, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, 9 rue Malher, 75004 Paris

 

La multiplication des scans laser aéroportés ou LiDAR en archéologie tend à faire de cette technologie un outil de base de la discipline, comme l’atteste la masse grandissante de littérature dédiée (cf. Evans 2020). De nombreuses études ont déjà démontré son utilité pour aborder la question de la territorialité (ex. Canuto et al. 2018), dans la mesure où les modèles de terrain qui en découlent permettent d’appréhender avec une précision sans précédent la distribution des aménagements humains autour des sites d’habitat. L’ampleur mise au jour et non complètement anticipée de ces aménagements encourage les spécialistes à questionner la notion même de site archéologique, dont les limites s’estompent et s’étendent vers un « hors site » mal défini. Parallèlement, alors que le LiDAR démultiplie les possibilités en termes d’enregistrement de structures archéologiques, de comparaison quantitative et d’analyses spatiales multiscalaires, les archéologues doivent trouver les moyens d’envisager les questions de durée d’occupation et de contemporanéité de ces structures pour appréhender dans le temps les dynamiques territoriales. Ce workshop a pour objectif de regrouper des chercheurs à la pointe dans le domaine du traitement des données LiDAR et qui utilisent celles-ci pour aborder la dynamique des territoires anciens. Le territoire sera entendu ici dans son sens le plus large, c’est-à-dire comme l’espace au sein duquel une société donnée marque son emprise pour répondre à des besoins divers (utilisation de ressources, bornage territorial, communications, etc.). Les présentations et discussions aborderont l’analyse des territoires. L’accent sera mis sur (1) la méthodologie (ex. acquisition des données, interprétations des éléments, vérifications de terrain, limites des données LiDAR…), (2) la diversité des approches (ex. archéologie du peuplement, archéologie du paysage, archéogéographie, perspectives écologiques et environnementales…), et (3) la diversité des environnements étudiés (ex. forêts tropicales et tempérées, reliefs marqués, zones encore perturbées par les pratiques actuelles [agriculture, industrie etc.]…).

 

The use of Airborne Laser Scanning (ALS) or LiDAR in archaeological research is booming. The technology is quickly becoming a fundamental tool, generating a growing body of literature (see Evans 2020). Many studies already pinpointed its usefulness for tackling territorial issues (e.g. Canuto et al. 2018), as LiDAR-derived digital elevation models (DEM) allow scholars to define like never before the extent of human-modified landscape around ancient settlements. The magnitude revealed and not fully anticipated of the latter further encourages specialists to question the very concept of the archaeological site, now that its limits often blur with those of a poorly defined “off-site”. Concurrently, while LiDAR broadens the possibilities to identify archaeological features, compare them and analyse spatial organisations at various scales, archaeologists must find ways to tackle the question of the timing of occupation and contemporaneity of these features in order to address territorial dynamics over the long term. This workshop aims to bring together leading researchers working with LiDAR-derived data to address the dynamics of ancient territories. Territory will be understood here in a broad sense: the spatial area within which a human society expresses its influence to respond to diverse needs (resources managment, territorial demarcation, communications, etc.). Communications and discussions will focus on analysis at territorial scale, with an emphasis on (1) methodology(e.g. data acquisition, feature interpretations, ground[1]truthing, limits of the LiDAR-derived data…),  (2) diversity of approaches (e.g. settlement and landscape archaeologies, Archaeogeography, ecological and environmental perspectives…), and (3) diversity of environments investigated (e.g. tropical and temperate forests, marked topographic reliefs, areas still disturbed by current practices [agriculture, industry etc.]…).

Présentation et détail des sessions : Affiche_Workshop_LiDAR-compressé

Programme du Workshop : Programme_Workshop_LiDAR

 

L’évènement aura lieu dans l’amphithéâtre Dupuis du Centre Malher (9 rue Malher, 75004, métro Saint Paul) et sera retransmis en direct à l’adresse suivante : webcast archaeological lidar and ancient territories

En raison des conditions actuelles, l’accès à l’amphithéâtre est limité et se fera sur réservation à l’adresse suivante : ws.lidar.archeoparis2021@gmail.com
Par ailleurs, l’entrée dans l’amphithéâtre se fera uniquement sur présentation du Pass Sanitaire.

The event will take place in the Dupuis amphitheater of the Malher Center (9 rue Malher, 75004, metro Saint Paul) and will be broadcasted live at the following address: webcast archaeological lidar and ancient territories

Due to current conditions, access to the amphitheater is limited and will be by reservation at the following address: ws.lidar.archeoparis2021@gmail.com
Moreover, the entrance in the amphitheater will be done only on presentation of the European Sanitary Pass.

 

 

Comité d’organisation : Antoine Dorison (LabEx Dynamite/ UMR 7041 ArScAn) ; Philippe Nondédéo (UMR8096 ArchAm)

Comité scientifique : Michelle Elliott (UMR 7041 ArScAn) ;  Grégory Pereira (UMR8096 ArchAm) ; Christophe Petit (UMR 7041 ArScAn)

Organismes financeurs : LabEx DynamiTe (Paris 1) ; UMR 7041 ArScAn ; UMR8096 ArchAm

 




Usages des argiles et terres argileuses : du « Cru » au « Cuit »

Journée d’étude du Projet Collectif ArScAn « Argiles »

Programme à télécharger : Flyer_Argiles_12_12_2019_XF

Le « Cru »
9 h-9 h 20 Accueil
9 h 20-9 h 30 Xavier Faivre (CNRS) : Introduction
9 h 30-10 h Bruno Comentale (Université de Nantes) : De la montagne à la tablette : géomorphologie des environnements argileux en milieu semi-désertique
10 h-10 h 30 Odile Daune-Le Brun (CNRS) : Entre pierre et terre, des techniques de construction revisitées : le village néolithique de Khirokitia – Chypre
10 h 30-11 h Pause café
11 h-11 h 30 Nina Parisot (Université Lumière – Lyon 2) : Récipients et structures de stockage en terre crue du Néolithique à l’âge du Bronze en France méridionale
11 h 30-12 h Guillaume Huitorel (CNRS) : Séchoirs et fumoirs de Gaule romaine. Des structures de combustion en torchis ?

12 h-12 h 30 Discussions

12 h 30-14 h Déjeuner (salle 1 du Rez-de -jardin)

Le « Cuit »
14 h-14 h 30 Martin Sauvage (CNRS) : De la brique crue à la brique cuite en Mésopotamie
14 h 30-15 h Mathilde Jean (Université Paris 1) : De l’environnement géologique à la lame mince : problématiques de la préparation et de la cuisson des matières premières en pétrographie céramique
15 h-15 h 30 Pause café
15 h 30-16 h Johnny Samuele Baldi (CNRS) : L’épreuve du feu. Les fours à céramiques entre choix culturels et contraintes techniques : exemples archéologiques et ethno-archéologiques
16 h-16 h 30 Laura Cousin (CNRS) et Xavier Faivre (CNRS) : Les types de fours dans les textes mésopotamiens et leur réalité matérielle dans les fouilles archéologiques

16 h 30-17 h Discussions, synthèse et conclusions




Représenter la performance : Le théâtre en terre cuite

Séminaire « Représenter la performance »
(UMR 7041-ArScAn, équipes ESPRI&LIMC et THEMAM)

 

Le théâtre en terre cuite.
Masques et figurines de la chôra égyptienne aux époques ptolémaïque et romaine


conférence de

Pascale Ballet (Université Paris Nanterre)

Estelle Galbois (Université Toulouse II Jean Jaurès)

 

Vendredi 22 novembre 2019 (13h30-15h30)
Université Paris Nanterre,
Maison Archéologie et Ethnologie René Ginouvès, salle du Conseil

Contacts :
Alexa Piqueux : apiqueux@parisnanterre.fr
Evelyne Prioux : evelyne.prioux@cnrs.fr




Journée « En marge de l’espace funéraire collectif »

Projet collectif de l’UMR ArScAn
Construire l’espace
Analyse chrono-spatiale des logiques territoriales et locales

8 novembre 2019
Université Paris Nanterre
Bâtiment Max Weber
salle 2, rdc

Projet collectif de l’UMR ArScAn
Construire l’espace

Programme : Lieux et espaces funéraires (coordination : Brigitte Boissavit-Camus et Katerina Chryssanthaki-Nagle, Olivier de Cazanove)

> Programme

Le choix des emplacements dévolus aux morts répond autant à des logiques culturelles que pratiques. Or, rarement la réflexion ne fait la part entre les deux motivations qui régissent leur implantation. La recherche récente montre que la fonction funéraire est loin d’être, dans le passé, toujours aussi dissociée des lieux cultuels et résidentiels qu’on ne l’a pensé. Ceci questionne ce que recouvre concrètement et implicitement les notions de séparation et de distance et, au-delà, les seuils critiques induits (distance physique ou immatérielle ? distance verticale ou horizontale ? distance entre un lieu et les usages d’un lieu ? etc.).

En confrontant différentes aires chronologiques et culturelles, nous proposons d’aborder l’analyse spatiale des espaces funéraires, par une réflexion sur les dynamiques et les logiques détectables au niveau du lieu (émergence, maintien, transformation, disparition…). En examinant les critères susceptibles d’éclairer des choix ou des configurations en matière de localisation (milieu, ressource, fréquentation, accessibilité, productivité, aménité, répulsion, tensions foncière, symbolique, économique, habitus …), il s’agit de saisir les interactions des éléments funéraires avec leur environnement culturel ou naturel, et de comprendre les relations qui unissent un lieu à l’aire ou au réseau dans lequel il prend place.

L’analyse peut être envisagée sur des durées courtes comme longues, les éléments du territoire ayant pu perdurer en l’état, avoir changé de contenus et de formes, avoir été négligés et abandonnés dans le temps. Les questions de leur création, de leur transformation et de leur disparition sont donc au coeur des discussions, éclairent les notions d’usage, d’adaptation ou de résilience, mais aussi d’héritage, car les objets spatiaux sont souvent réintégrés à d’autres logiques après leur abandon. En tentant de saisir la part des lieux dans les dynamiques d’appropriation des territoires, la réflexion fait aussi écho aux préoccupations contemporaines.

 




Argiles : retour d’expérimentation 2

« Reproduire dans l’argile : reconstitution, protocole, expérimentation »

 

14 h-14 h 10 :    Accueil

Gaule

14 h 10-14 h 20  Xavier Faivre (CNRS – ArScAn – HAROC)
Introduction. Retours d’expériences autour de l’argile et des terres argileuses : démarche et
perspectives dans le Projet Collectif « Argiles »

14 h 20-14 h 50   Guillaume Huitorel (CNRS – ArScAn – GAMA)
Séchoir en T d’époque romaine : reconstitution, premiers tests et résultats

15 h-15 h 30   Lucile Bolot (céramiste indépendante)
L’archéologie expérimentale appliquée à la
céramique sigillée du Haut-Empire en Gaule
15 h 30-15 h 40 : Pause
15 h 40 -17 h 40 (Suite)

Monde égéen

15 h 40-16 h 10  Sarah Georgel (Université Paris 1 – ArScAn)
Reproduire une larnax minoenne : enquête chez les potiers de Margaritès

16 h 10-16 h 40   Alexandre Pinto (Université Paris 1 – ArScAn)
Écouter un idiophone en argile ? Le sistre égéen

16 h 40-17 h 10  Bastien Rueff  (Université Paris 1 – ArScAn)
Un programme expérimental de reconstitution du fonctionnement des lampes minoennes

17 h 10 -17 h 40 : Exposition et présentation matérielle de réalisations

 




Armes et Guerriers

Doctorantes à l’Université Paris 1 et Paris 10 , nous organisons

le 29 octobre prochain un colloque intitulé « Armes et Guerriers »

dont le thème porte sur l’évolution de l’équipement du guerrier de l’Âge du Bronze au Moyen-Âge,

 

en Europe et au Proche-Orient. Celui-ci se tiendra au Centre Michelet (Paris), à l’institut d’Art et d’Archéologie.

Au cours de cette journée qui réunie  des chercheurs et des étudiants travaillant sur des aires chrono-culturelles et géographiques différentes, chaque communicant présentera ses recherches et sa méthode d’étude et d’analyse de l’équipement militaire des soldats. Ce sera l’occasion d’aborder la question de l’abandon, de la pérennisation et de l’évolution des pièces d’équipement offensif et défensif des guerriers.
Nous pensons que cet événement est susceptible d’intéresser des chercheurs et des membres de vos équipes. Dans ce cadre, nous diffusons le programme des communications de cette journée ainsi que la fiche d’inscription permettant d’assister au colloque.
Fiche inscription – Armes et Guerriers
Celle-ci est fondamentale car notre capacité d’accueil d’auditeurs est limitée.
Elle doit être complétée et renvoyée à l’adresse mail suivante : armesetguerriers.colloque2019@gmail.com, avant le 29 septembre. Vous trouverez ci-joint ces deux documents.

 

Vous trouverez également plus d’informations sur notre site ,
https://armesetguerriers.wordpress.com/

ainsi que sur notre page Facebook,
https://www.facebook.com/ColloqueArmesetGuerriers

 




“La mort à Tell Aswad”