Médaille Delalande-Guérineau 2022 décernée à Martin Sauvage (ArScAn, UMR7041, équipe VEPMO)

La médaille Delalande-Guérineau 2022,

Académie des Inscriptions et Belles Lettres,

est décernée à

Martin Sauvage (ArScAn, UMR7041, équipe VEPMO)

pour la direction de l’ouvrage collectif Atlas historique du Proche-Orient ancienCoédition IFPO, Beyrouth, Les Belles Lettres, Paris, 2020

Avec la collaboration de : Philippe Abrahami – Damien Agut-Labordère – Raphaël Angevin – Johnny Samuele Baldi – Emmanuel Baudouin – Fanny Bocquentin – Odette Boivin – François Bridey – Pascal Butterlin – Corinne Castel – Barbara Chiti – Philippe Clancier – Laura Cousin – Julien Cuny – Pascal Darcque – Mustapha Djabellaoui – Xavier Faivre – Guillaume Gernez – Bernard Geyer – Bruno Gombert – Anna Gómez Bach – Daniel Helmer – Michaël Jasmin – Mathilde Jean – Francis Joannès – Christine Kepinski – Ergül Kodaş – Bertrand Lafont – Marc Lebeau – Alain Le Brun – Camille Lecompte – Brigitte Lion – Marjan Mashkour – Cécile Michel – Pierre de Miroschedji – Miguel Molist Montaña – Alice Mouton – Hugo Naccaro – Aurélie Paci – Clélia Paladre – Bérengère Perello – Philippe Quenet – Marcelo Rede – Margareta Tengberg – Aline Tenu – Régis Vallet – Julien Vieugué – Emmanuelle Vila

Présentation de l’ouvrage :

Cet atlas offre un panorama complet du Proche-Orient ancien, depuis les prémices de la sédentarisation, il y a plus de 20 000 ans, jusqu’au tournant de notre ère. Il rassemble à la fois des cartes synthétiques permettant de suivre l’évolution culturelle et politique du Proche-Orient dans la durée, mais également des cartes plus focalisées sur une région précise ou plus thématiques. Toutes les cartes, entièrement nouvelles, prennent en compte les dernières avancées de la recherche et offrent l’état le plus à jour possible des axes d’étude explorés dans la région. Ont été ajoutés un certain nombre de plans de villes, principales capitales et cités plus modestes à la morphologie caractéristique d’une région ou d’une période. Chaque carte est accompagnée d’un court texte qui expose le contexte culturel ou politique et explicite les choix cartographiques, les limites des connaissances ou les avancées de la recherche durant les vingt dernières années. S’y ajoutent un choix de références bibliographiques parmi les plus à jour pour chaque contribution, un index des noms propres et des noms de peuples ainsi qu’un index géographique très complet recensant les noms modernes et anciens des sites ainsi que leurs différentes variantes.

Cet ouvrage a rassemblé une cinquantaine de contributeurs, experts reconnus ou jeunes chercheurs : enseignants universitaires en France ou à l’étranger, chercheurs et ingénieurs du CNRS, conservateurs du musée du Louvre, jeunes chercheurs doctorants ou post-doctorants, rattachés principalement à trois équipes de l’unité mixte du CNRS Archéologie et sciences de l’Antiquité (MSH Mondes, Nanterre) mais également à d’autres laboratoires en France et cinq universités et centres de recherche à l’étranger.

 

 

Lien vers la page de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres : https://www.aibl.fr/prix-et-fondations/palmares-2022/

Lien vers la page de l’éditeur : https://www.lesbelleslettres.com/livre/9782251451138/atlas-historique-du-proche-orient-ancien




La Mission archéologique franco-saoudienne des îles Farasân (MIFA) lauréate du prix Clio 2021

La Mission archéologique franco-saoudienne des îles Farasân (MIFA) est lauréate du prix Clio 2021

La mission archéologique franco-saoudienne des îles Farasân (MIFA) a reçu le 1er prix Clio 2021 pour l’archéologie francophone à l’étranger. Les travaux de l’équipe contribuent à la réalisation d’un inventaire du patrimoine archéologique de l’archipel, situé au large de la ville saoudienne de Jizân à une centaine de kilomètres au nord de la frontière avec le Yémen. L’objectif est plus particulièrement l’étude du site de Wadi Matar 2, où évoluait une population de culture sudarabique aux premiers siècles de notre ère et de l’oasis d’al-Qusar, occupée par un contingent militaire romain envoyé sur l’archipel au 2ème s. de n.è. pour sécuriser le commerce maritime dans cette partie de la mer Rouge.

La MIFA est une mission franco-saoudienne (Université Paris 1 – Heritage Commission), dirigée par Solène Marion de Procé et Mohammad al-Malki, soutenue par l’équipe APOHR du laboratoire ArScAn (UMR 7041), le CEFREPA-Koweit, la Commission consultative pour les fouilles archéologiques à l’étranger, le Consulat Général de France à Djeddah, le SCAC de l’ambassade de France à Riyadh, EVEHA International. Ces travaux reçoivent également du soutien du LabEx DynamiTe. La mission bénéficie également d’un mécénat saoudien privé




Conférence « Les cités romaines et la structure territoriale de l’Empire romain »

« Les cités romaines et la structure territoriale de l’Empire romain »

Conférence de Ricardo González Villaescusa

gratuite, suivie de la vente et dédicace de l’ouvrage Les cités romaines, collection Que sais-je ? paru en 2021.

Samedi 2 avril 2022 à 14h30 à l’auditorium du Musée d’Archéologie nationale, Domaine National de Saint-Germain-en-Laye

L’expansion de Rome entraîna une forme particulière d’organisation sociale : la cité romaine. Dans la continuité des cités-États méditerranéennes, cette modalité territoriale de la civitas a donné naissance à plusieurs centres urbains entourés de leurs propres territoires, dont la juxtaposition a durablement structuré l’empire. Organisée autour d’une communauté de citoyens qui la dirigeait, le populus, la cité jouissait d’une certaine autonomie sous un même droit. Matérialisations de cette communauté, édifices et monuments représentaient par excellence l’urbanitas, le mode de vie urbain.

Renseignements au 01 34 51 65 36 (du lundi au vendredi, de 9h à 12h30)

Réservation obligatoire dans la limite des places disponibles, via le lien suivant :  https://affluences.com/musee-darcheologie-nationale/reservation?type=145




ArScAn au Printemps de l’archéologie

Plusieurs membres du laboratoire ArScAn seront présents à l’occasion du Printemps de l’archéologie de Saint-Dizier en Haute-Marne.

Retrouvez ici le programme des manifestations : programme_Printemps_Archéologie_2022_reduit_CompressPdf

 

Lien vers le site web de l’évènement : https://www.printemps-archeologie.fr/




EXPOSITION Arpi riemersa

Arpi riemersa. Dalla rete idrica alla scoperta delle necropoli, exposition organisée à partir du 4 février organisée au Museo del Territorio di Foggia

par la Soprintendenza Archeologia, Belle Arti e Paesaggio per le Province di Barletta-Andria-Trani e Foggia, le Museo del Territorio, le Centre Jean Bérard et l’Università degli Studi di Salerno

La nouvelle exposition du Museo del Territorio de Foggia, Arpi riemersa. Dalla rete idrica alla scoperta delle necropoli (Scavi 1991-1992) a été inaugurée le 4 février dernier. Fruit de la collaboration entre la Soprintendenza Archeologia, Belle Arti e Paesaggio per le Province di Barletta-Andria-Trani e Foggia, le Museo del Territorio, le Centre Jean Bérard et l’Università degli Studi di Salerno, elle propose au public une nouvelle page de l’histoire de l’agglomération daunienne d’Arpi, une des plus grandes cités italiotes, entre le VIe et le IIIe siècle av. J.-C., à travers une sélection de tombes inédites découvertes par l’archéologue Marina Mazzei de la Surintendance archéologique des Pouilles entre 1991 et 1992, lors des travaux réalisés à l’occasion de l’installation d’un réseau hydrique qui traversa de part en part le site archéologique.

Elle est accompagnée d’un catalogue publié par l’éditeur Claudio Grenzi.

Pour en savoir plus sur les fouilles :

  1. Munzi, C. Pouzadoux, A. Santoriello, I.M. Muntoni, M. Leone, « Arpi. Formes et modes de vie d’une cité italiote (IVe IIe siècle av. n. è.) » [notice archéologique], Bulletin archéologique des Écoles françaises à l’étranger [En ligne], Italie, mis en ligne le 27 janvier 2022 (http://journals.openedition.org/baefe/4765).



L’expérience de la mobilité de l’Antiquité à nos jours, entre précarité et confiance

Claudia Moatti et Emmanuelle Chevreau (dir.)

Bordeaux, Ausonius Éditions, à paraître le 28 octobre 2021
ISBN : 978-2-35613-425-7

La mobilité humaine s’inscrit dans l’espace, mais aussi dans le temps. Et dans le temps long : c’est un processus, un parcours, le plus souvent discontinu, fait d’une série d’évènements, au cours desquels les individus se désocialisent, se resocialisent, et se transforment. C’est ce vécu et sa réalité multidimensionnelle et imprévisible que nous proposons de prendre en compte ici, pour saisir l’expérience migratoire dans le moment même du déplacement. Le champ de l’enquête est donc celui de l’entre-deux, statutaire, topographique, social ou idéel : c’est d’abord l’espace-temps du mouvement où tout peut arriver, où les repères sont en quelque sorte suspendus, où l’horizon se trouve indéfiniment reporté ; c’est aussi l’espace relationnel, fait de méfiance ou de confiance, qui se crée entre les migrants et ceux qu’ils rencontrent. Sur les chemins ou au seuil d’un lieu inconnu, dans tous les cas, l’incertitude, qui pour certains est propice aux aventures, devient source de précarité́. Ce livre constitue le premier volet d’une petite anthropologie du mouvement, qui se veut à la fois transdisciplinaire, transpériodique, et résolument comparatiste.

Lien vers la maison d’édition : https://ausoniuseditions.u-bordeaux-montaigne.fr/a-paraitre

 




Le papyrus dans tous ses Etats, de Cléopâtre à Clovis

L’exposition Le papyrus dans tous ses États, de Cléopâtre à Clovis se tiendra au Collège de France à compter du 18 septembre 2021, à l’occasion des Journées européennes du patrimoine, et se poursuivra jusqu’au 26 octobre. Elle est organisée par les Collège de France, les Archives nationales et la Bibliothèque nationale de France.

Gratuite et destinée à tous les publics, elle rassemblera dans le grand foyer du Collège de France une soixantaine de pièces datant de l’Égypte antique jusqu’au début du Moyen-Âge, présentant l’histoire de ce qui pendant plusieurs millénaires constitua, dans tout le pourtour méditerranéen, le support essentiel de l’écriture.
C’est la première fois que l’histoire du papyrus sera ainsi retracée dans toute son extension chronologique, de l’Égypte pharaonique au Moyen-Âge, et géographique, de l’Égypte à Byzance et Rome, de la Bretagne à l’Afghanistan, grâce à la réunion de pièces peu connues du public provenant de collections publiques et privées.
L’exposition, sans oublier l’Égypte et l’Orient, a en effet choisi de mettre en avant les utilisations moins connues du papyrus en Europe, d’où le rôle joué par les Archives nationales qui ont prêté des pièces exceptionnelles. On aura ainsi la chance d’y voir des actes de la chancellerie mérovingienne arborant les précieux autographes de Dagobert, de saint Éloi ou de Clovis II, la lettre d’un empereur byzantin et une bulle papale. On pourra également suivre la piste des mystérieux et habiles faussaires de l’abbaye de Saint-Denis, qui ont fabriqué au XIe siècle de faux actes royaux…

Présentation de l’exposition et des manifestations scientifiques qui y sont liées :
https://www.college-de-france.fr/site/jean-luc-fournet/Le-papyrus-dans-tous-ses-Etats-de-Cleopatre-a-Clovis.htm

 




Colloque international : La chose publique et la voix du peuple

La chose publique et la voix du peuple. Autour du livre de Claudia Moatti

organisé par Virginie Hollard (HiSoMA, Louis Autin (Rome et ses renaissances) et Romain Meltz (Triangle).

Les 24-25 novembre, Amphithéâtre Mérieux, ENS, site Monod
Le 26 novembre, salle 128, bâtiment D2, ENS, site Descartes.

L’ouvrage de Claudia Moatti paru en 2018 entreprend de reconsidérer entièrement la notion romaine de Res Publica en cherchant à sortir de la traduction par “République”. L’auteur montre que la Res Publica ne peut être définie ni comme une abstraction ni comme un régime politique mais comme “l’ensemble des questions en débat, des procédures et des moyens d’action qui relient les membres de la communauté comme ce qui est commun entre eux” (p. 41). Cet ouvrage marque sans conteste une rupture dans l’historiographie contemporaine sur l’histoire politique de la Rome antique. C’est à ce titre qu’il nous est apparu nécessaire d’organiser une rencontre scientifique sur une problématique à la croisée de la science politique et de l’histoire romaine. L’objectif de cette rencontre est de revenir sur les apports de cette recherche menée par Claudia Moatti tout en lui ajoutant une perspective sur la question plus spécifique du rôle politique du peuple.

Lien vers la présentation du colloque et son programme : http://triangle.ens-lyon.fr/spip.php?article10520

 

 




EnQuête de Pouvoir – De Rome à Lugdunum

EnQuête de Pouvoir – De Rome à Lugdunum, exposition temporaire du 6 octobre 2021 au 27 février 2022, au musée lyonnais Lugdunum – Musée et théâtres romains.

Sous le commissariat de Patrice Faure (HiSoMA-CEROR, UMR5189) et Frédéric Hurlet (ArScAn, UMR7041)

Stratégies, alliances, oppositions… La nouvelle exposition temporaire de Lugdunum – Musée et théâtres romains interroge toutes les facettes du « Pouvoir » à travers une crise politique de l’Empire romain qui se cristallisa à Lyon, en 197, lors d’une bataille restée dans les annales !

L’exposition :

Le 31 décembre 192, l’empereur Commode meurt sans avoir désigné de successeur.

Cet événement déclenche une crise politique conduisant à une guerre civile. Pertinax, le candidat désigné par le Sénat pour succéder à l’empereur est rapidement assassiné par sa garde rapprochée. Quatre sénateurs s’affrontent alors pour le pouvoir : Julianus, Niger, Septime Sévère et Albinus. Cette quête du pouvoir impérial entraîne le visiteur à la suite des protagonistes dans les provinces de l’Empire puis à Lyon, où se déroule une bataille décisive et pourtant méconnue en 197 ap. J.-C : La bataille de Lugdunum !

La scénographie est construite autour d’un axe principal : du Principat à la dynastie des Sévère. Cette période va connaître deux batailles (Actium et Lyon), un sac, des moments de gloire (Auguste et Sévère) et donneront à comprendre les mécanismes mis en œuvre pour accéder au pouvoir. Le graphisme soutient les choix scénographiques avec une ambiance contrastée (noir, blanc, gris) et des touches de couleurs franches (pourpre, or, bleu, rouge).

Des colonnes de papier, éléments symboliques de l’Antiquité romaine, construisent les déambulations et sont sublimées par un éclairage architectural pour une véritable mise en scène du pouvoir. Reconstitutions en papier, écrans interactifs, monnaies, cartographies ou encore manipulations seront également proposés aux visiteurs pour se plonger pleinement dans l’univers de l’exposition.

 

Des prêts d’exception 

L’exposition « Enquête de Pouvoir » est la première à profiter officiellement du partenariat avec le Musée du Louvre, destiné à enrichir les collections du musée et à développer des échanges scientifiques entre les deux institutions.

De fait, cette nouvelle exposition temporaire comporte 80% de prêts nationaux (Musée du Louvre, musée départemental Arles antique etc.) et 20% européens (Kunsthistorisches Museum de Vienne, Musei Vaticani, Musei Capitolini et Palazzo Massimo à Rome).

Un véritable travail coopératif inter-musées a ainsi été mené par les commissaires d’exposition et les régisseurs de collections pour proposer une vingtaine de pièces d’exception, parmi lesquelles deux statues « monumentales » de l’empereur romain Auguste et de son épouse Livie (Louvre) ou encore les Insignes Impériaux (Palazzo Massimo, Rome).

Lien vers le site de présentation de l’exposition et des manifestations en rapport : https://lugdunum.grandlyon.com/fr/agenda/evenements/enquete-de-pouvoir-de-rome-a-lugdunum

 

 




Trésors de Mésopotamie : des archéologues face à Daech

Trésors de Mésopotamie : des archéologues face à Daech

Diffusion sur Arte samedi 25 septembre à 20 h 50 et en ligne  https://www.arte.tv/fr/videos/078692-000-A/tresors-de-mesopotamie-des-archeologues-face-a-daech/

 

La Mésopotamie fut une cible de choix pour Daech, déterminé à effacer toute trace de cette civilisation fondatrice. Mais des anonymes se sont dressés sur leur chemin, luttant pour la sauvegarde d’un patrimoine unique.

Sumer, Babylone, l’épopée de Gilgamesh, la légendaire tour de Babel… : tous ces noms incarnent la Mésopotamie, (littéralement « pays entre les fleuves », à savoir le Tigre et l’Euphrate). C’est dans cette plaine connue sous le nom de croissant fertile, là où se trouve actuellement l’Irak, qu’est née notre civilisation et où l’humanité s’est organisée en société de plusieurs dizaines de milliers de personnes, a inventé l’écriture et donné à l’agriculture et à l’architecture un développement sans précédent. Que raconte cette histoire, pour qu’un groupe terroriste à l’influence mondiale ait décidé, entre autres crimes, de vouloir en effacer définitivement la trace ?

 

 

L’union des hommes

En 2014, la Mésopotamie s’est rappelée à nous par la folie destructrice de Daech. L’armée terroriste a fait de son héritage sa cible privilégiée, presque obsessionnelle. Les principaux sites de la Mésopotamie du Nord ont été rasés de la carte archéologique. Mises en scène, les images des exactions ont fait le tour du monde et ont convaincu Jawad Bashara, écrivain et journaliste irakien exilé en France sous la dictature de Saddam Hussein, de rentrer dans son pays pour agir. Il entame alors une course de vitesse contre la destruction programmée de ces piliers fondateurs de notre civilisation. Aventuriers archéologues, étudiants, enfants des villes et des marais, soldats au combat ou gardiens de sites perdus au milieu du désert se joignent à lui pour sauver ces trésors d’une énième calamité. Grâce aux nouvelles technologies,Jawad Bashara espère ainsi sauvegarder et reconstituer numériquement les sites, les monuments et les œuvres éparpillées dans cet Irak en proie aux conflits. Entre les mines et les lignes de front, son expédition fait revivre à sa façon cette civilisation qui, des premières assemblées villageoises aux sommets vertigineux de sa tour de Babel, a voulu à ses risques et périls construire un monde privilégiant l’union des hommes à la paix des dieux.

 

Réalisation : Ivan Erhel, Jean-Christophe Vaguelsy, Sallah -Edine Ben Jamaa et Pascal Cuissot, France, 2021

Avec la participation des archéologues membres d’ArScAn-UMR7041 et de la MSH-Mondes